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AUTORITÉ DE CONTRÔLE NÉERLANDAISE: L’AP critique le Registre de transparence pour les soins de santé

AUTORITÉ DE CONTRÔLE NÉERLANDAISE: L’AP critique le Registre de transparence pour les soins de santé

Les médecins peuvent ne pas être influencés par les paiements des fabricants lors du choix des médicaments ou des aides à prescrire à leurs patients. Pour renforcer le respect de cette obligation, un projet de loi a été rédigé pour un registre public de transparence obligatoire pour les soins de santé. Dans ce registre, toutes les transactions entre le fabricant et le médecin de 50 euros ou plus sont enregistrées.

L’Autorité néerlandaise des données personnelles (AP) a de sérieux doutes quant à l’utilité de ce registre public. C’est ce que l’AP écrit dans un rapport consultatif à la Chambre basse.

Selon l’AP, l’inclusion dans le Registre de transparence des soins de santé viole de manière significative le droit fondamental du médecin à la protection des données.
Une telle annonce ne signifie pas nécessairement qu’il y a un paiement interdit, bien que cette image peut facilement être créée. En outre, il n’est pas clair pourquoi un registre public est nécessaire dans ce cas.

La nécessité n’est pas claire

L’objet du registre n’est pas en cause pour le PA. Toutefois, il est plutôt incertain que le caractère public du registre contribuera effectivement à cet objectif.
La note explicative du projet de loi motive l’importance de l’accès du public en ce qui concerne l’avantage pour les journalistes et les patients. Mais cela ne répond pas à la question de savoir comment ils peuvent utiliser le registre pour exposer les paiements interdits.

Après tout, il est peu probable que des paiements clairement interdits soient déclarés. Le registre fournit donc principalement un aperçu des cas qui ne sont pas nécessairement problématiques.

En outre, les patients et les journalistes ne sont pas vraiment en mesure de juger correctement ces affaires, car ces personnes – contrairement à l’IGJ – n’ont généralement pas accès aux contrats sous-jacents entre les fabricants et les médecins qui pourraient montrer le caractère interdit.

L’explication ne répond pas non plus à la question de savoir pourquoi un registre public est nécessaire en plus de la supervision – éventuellement intensifiée – de l’IGJ.

L’AP conseille donc de justifier davantage la nécessité d’un accès public au registre. Ou de ne donner accès au registre qu’à l’IGJ.

SOURCE: AUTORITA’ PER LA PROTEZIONE DEI DATI DEI PAESI BASSI – AP

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